De l’espoir pour des enfants en détress !

Un avenir meilleur pour des enfants pauvres

Une pauvreté extrême, beaucoup de gens ne savent ni lire ni écrire – et leurs enfants n’auront pas un avenir meilleur. Car leurs parents n’ont pas les moyens de les envoyer à l’école. Certains n’ont même pas assez à manger.

Ensemble nous veillons à ce que des enfants issus de milieux les plus pauvres aient un avenir meilleur.

« J’aime tellement aller chez NPH ! »

Oscar, six ans, est le cadet de trois frères. Il est joyeux et poli, sourit constamment et adore jouer au football. Ses parents sont très pauvres. Il leur serait impossible par leur propres moyens de lui donner une formation.

Les parents d’Oscar vendent des tortillas sur la rue pour payer la location et joindre les deux bouts. Ils n’ont pas d’argent pour la scolarisation de leurs enfants. « Grâce à l’aide de NPH, mes espoirs et mes êves sont devenus réalité. Oscar peut aller à l’école et s’instruire ! Il reçoit une nourriture saine et un médecin vient régulièrement. Je suis si reconnaissante », dit Ana, la maman d’Oscar. Depuis l’âge de deux ans, Oscar et ses frères sont pris en charge durant le jour dans la garderie de NPH au Salvador. Pendant ce temps, les parents peuvent travailler et gagner de l’argent pour la famille.

Oscar est pris en charge chez nous durant le jour, reçoit deux repas sains et va à l’école.

Oscar est fier et heureux : « Je vais ici à l’école et joue avec mes amis. Et les repas sont fantastiques ! »

Un avenir meilleur pour des enfants pauvres !

Une formation gratuite, des repas nourrissants et la prise en charge de 7h jusqu’à 15h – c’est ce que nos programmes communautaires offrent à des enfants issus de milieux les plus pauvres. Rien qu’au Salvador nous aidons ainsi plus de 260 enfants.

Lorsque les familles vivent dans une pauvreté extrême, la spirale de la pauvreté ne cesse de s’aggraver. Les enfants ne peuvent pas aller à l’école, n’apprennent jamais à lire et à écrire. Ils doivent travailler de bonne heure déjà pour contribuer au revenu de la famille.

Grâce au soutien que les familles reçoivent de NPH – souvent des mères élevant seules leurs enfants – les enfants qui n’auraient jamais une chance, peuvent espérer avoir un avenir meilleur. Ils laisseront alors derrière eux la pauvreté dans laquelle ils sont nés. Ils pourront plus tard subvenir aux besoins de leurs familles et pouvoir donner une instruction à leurs enfants. Votre aide en est la clé.

« Veuillez aider aujourd’hui par votre don de Noël à donner un avenir meilleur à des enfants pauvres et si nécessaire un foyer.
Je vous en remercie de tout cœur! »

Guido Mühlemann
Directeur Suisse

Veuillez offrir de l’espoir aux plus pauvres parmi les pauvres !

Avec 40 francs
vous assurez chaque
jour à des enfants
deux repas chauds.

Avec 75 francs
vous garantissez
la scolarisation
d’enfants pauvres.

Avec 150 francs
nous pouvons prendre en charge un enfant chaque
jour durant trois mois.

Des chances pour les filles !

Des perspectives pour les filles – grâce à une formation !

Des filles sans chances : dans les familles pauvres, ce sont toujours les filles qui ne vont pas à l’école ou ne la termine jamais. Sans formation, il est toutefois impossible à ces jeunes femmes de prendre leur avenir en main et plus tard de voler de leurs propres ailes.

En plus de leur formation, nous renforçons l’estime de soi et la personnalité de nos filles.

L’ampleur de la pauvreté au Honduras

Les filles en Amérique latine sont souvent très défavorisées, notamment celles qui vivent dans la pauvreté. Ce sont elles qui aident au ménage et s’occupent de leurs frères et soeurs plus jeunes.
La plupart d’entre elles n’ont pas de diplôme scolaire. Que deviendront-elles alors sans formation ? Nous veillons à ce que des filles défavorisées aient les mêmes chances ! Elles vont à l’école et font une formation professionnelle afin de pouvoir vivre plus tard de manière autonome.

Wereld Ouders NPH Honduras ┬® Tony Docekal LoRes-1008393

Louise vivait avec ses cinq frères et soeurs dans une pauvreté extrême. Le père était malade, la mère abandonna la famille. Louise restait à la maison, sans perspectives.
Lorsque son père décéda, elle fut accueillie chez NPH au Honduras. Sa nouvelle vie commença …

L’histoire de Louise : de la pauvreté à de nouvelles perspectives

Louise fait jaillir des étincelles!

Avec sa sœur aînée, Louise soignait à la maison son père très malade. La mère avait quitté la famille qui vivait dans une pauvreté extrême. Louise n’avait jamais été à l’école. Lorsque le père mourut, Louise et ses cinq frères et sœurs fu- rent accueillis dans notre village des enfants au Honduras.

Elle était très timide, mais tou- jours très appliquée. Lorsqu’elle dû choisir une formation profes- sionnelle, Louise découvrit ra- pidement sa vraie passion dans nos ateliers : « C’est la soudure qui me plaît le plus ! C’est telle- ment créatif et passionnant, mais je suis toujours prudente. J’ai des cours trois fois par semaine.

« Souder est le métier le plus cool que je puisse imaginer ! »

La fascination de la soudure

« Souder est le métier le plus cool que je puisse imaginer ! »

J’apprends à mesurer stratégi- quement afin que je puisse dé- couper les pièces et relier les structures par différentes tech- niques. Le plus beau moment est lorsque j’assemble les pièces et que les étincelles jaillissent. » La jeune femme de dix-sept ans rayonne en parlant de la soudure. Cela fait maintenant deux ans qu’elle apprend ce métier. « Je veux devenir meil- leure encore et peut-être ou- vrir un jour mon propre atelier » dit Louise avec assurance.

Gratitude envers NPH

«Je suis si reconnaissante pour l’aide que je reçois de NPH. Sans elle je ne serai pas la personne que je suis maintenant.» Louise a désormais de nombreuses possibilités. Elle va terminer sa formation professionnelle et trouvera son propre chemin. On peut voir littéralement combien la perspective d’un avenir autonome la porte.

Louise au Honduras, 17 ans

Les filles en Amérique latine ont besoin de chances

Pendant la journée, les enfants sont pris en charge et encouragés, ils sont nourris et reçoivent une aide médicale. Le soir, ils retournent auprès de leur mère.

Sortir de la pauvreté

La formation est le moyen pour se sortir de la pauvreté, pour les filles notamment. Chez NPH, nous nous engageons pour l’égalité des chances et veillons à ce que les filles aient des perspectives, grâce à une formation qui cor- respond à leurs aptitudes, mais aussi grâce à des cours spéciaux pour renforcer leur amour-pro- pre et une apparence sûre.
Les jeunes femmes pourront ainsi choisir leur propre chemin dans la vie et s’affirmer dans leur vie privée et professionnelle.


Votre aide importante donne une vraie chance à de jeunes filles désavantagées. Veuillez aider maintenant !

Veuillez donner une chance à des filles défavorisées !

Avec 40 francs vous garan- tissez à une fillette pauvre d’aller à l’école.

Avec 75 francs vous aidez une jeune fille à apprendre un métier.

Avec 150 francs vous donnez à des fillettes défavorisées une perspective pour l’avenir.


Infiniment enrichissant : le volontariat en Amérique latine !

Des expériences émouvantes, des moments inoubliables, des impressions marquantes – c’est ce qu’offre un bénévolat chez NPH en Amérique latine ! Nous recher- chons des personnes de tous âges (dès 21 ans et ayant terminé leur formation) désirant s’impliquer dans le secteur médical, social, thérapeutique ou dans l’adminis- tration et qui veulent faire provision de nouvelles expériences et aider des enfants dans le besoin.

Pour tout renseignement ou question adressez-vous à Cristina Büttikofer: téléphone: 043 497 90 30, e-mail: cristina.buettikofer@nph-switzerland

« Aujourd’hui encore, je me souviens des visages des enfants reconnais- sants et joyeux. Le temps passé au village des enfants a incroyablement élargi mon horizon et ma compré- hension pour d’autres cultures. »

Guido Mühlemann

Protection et amour pour les enfants en détresse

Les centres familiaux NPH, un refuge pour les enfants pauvres au Guatemala

44 % de la population du Guatemala est pauvre. Beaucoup quittent leurs villages et espèrent trouver dans les villes un travail et une vie meilleure, mais la situation y est encore pire – à cause de bandes criminelles, de la violence et de la drogue. Les enfants et les adolescents y sont livrés sans défense, car une prise en charge et les perspectives font défaut.

D’innombrables habitants de l’Amérique latine souffrent d’une terrible pauvreté. Des bandes criminelles sèment la terreur dans les villes. La situation est particulièrement désespérée pour les enfants et les mères élevant seules leurs enfants. Ils n’ont guère la chance d’avoir une vie meilleure.

Le petit Mario, le plus jeune d’une fratrie de quatre enfants, vit avec sa maman à Chimaltenango au Guatemala. Son père était violent.

«Nous avons dû partir, car j’avais peur pour mes enfants. Qui sait ce qu’il aurait pu leur faire… »

Mes enfants sont tout ce qui compte !

Violeta vivait avec son mari et ses quatre enfants dans un petit village au Guatemala. Mais lorsque le père commence à violenter Violeta puis sa fille, la mère désespérée doit prendre une décision. Elle quitte son mari et s’enfuit en ville. Mais le marché de Chimaltenango où elle vit maintenant est dominé par des bandes criminelles. Violeta survit avec ses enfants grâce à de petits travaux, mais quand elle va travailler, elle doit laisser les enfants seuls.

Depuis que Violeta et ses enfants vivent en ville, ils sont livrés à eux-mêmes.
Le petit Mario s’épanouit dans notre garderie et sa mère est pleinement confiante.

De nouvelles perspectives donnent de l’espoir

« Notre situation est pire qu’avant. Chaque jour, quand je vais travailler, je prie Dieu qu’il n’arrive rien à mes enfants. Mario n’a que quatre ans … » Afin de soutenir Violeta et ses enfants et leur donner de nouvelles perspectives, nous prenons en charge Mario dans notre garderie, Violeta pouvant ainsi aller travailler sans soucis. Ses enfants plus âgés reçoivent un soutien scolaire dans notre centre familial et suivent des cours de préparation professionnelle.


Avec votre don précieux, vous aidez des familles dans le besoin comme Violeta et ses quatre enfants à se construire un avenir meilleur – chaque franc compte.

In den NPH-Familienzentren und Kindertagesstätten helfen wir Kindern in Lateinamerika.
Les enfants sont pris en charge pendant la journée, sont nourris et reçoivent des soins médicaux. Le soir, ils rentrent chez leurs mamans.

Une aide réelle – adaptée aux besoins des familles !

La terrible pauvreté et le manque de perspectives pour les enfants sont les problèmes majeurs dans bien des régions de l’Amérique latine. Ils restent prisonniers de la misère ou tombent même entre les griffes de bandes criminelles.

Avec les centres familiaux et les garderies de NPH, nous aidons des enfants comme Mario tout en gardant un oeil sur leur environnement familial. Nous renforçons ainsi aussi bien l’enfant que les personnes qui l’entourent, notamment les mères seules comme Violeta qui souffre beaucoup.

Veuillez aider aujourd’hui par votre don et offrez des perspectives à des enfants dans le besoin !

Veuillez offrir la sécurité et une perspective à de pauvres enfants !

Avec 35 francs vous
assurez les repas des enfants dans notre garderie.

Avec 80 francs vous
garantissez aux enfants la scolarité et de l’aide scolaire.

Avec 150 francs vous assurez
la prise en charge de pauvres enfants dans notre garderie.