Des chances pour les filles !

Des perspectives pour les filles – grâce à une formation !

Des filles sans chances : dans les familles pauvres, ce sont toujours les filles qui ne vont pas à l’école ou ne la termine jamais. Sans formation, il est toutefois impossible à ces jeunes femmes de prendre leur avenir en main et plus tard de voler de leurs propres ailes.

En plus de leur formation, nous renforçons l’estime de soi et la personnalité de nos filles.

L’ampleur de la pauvreté au Honduras

Les filles en Amérique latine sont souvent très défavorisées, notamment celles qui vivent dans la pauvreté. Ce sont elles qui aident au ménage et s’occupent de leurs frères et soeurs plus jeunes.
La plupart d’entre elles n’ont pas de diplôme scolaire. Que deviendront-elles alors sans formation ? Nous veillons à ce que des filles défavorisées aient les mêmes chances ! Elles vont à l’école et font une formation professionnelle afin de pouvoir vivre plus tard de manière autonome.

Wereld Ouders NPH Honduras ┬® Tony Docekal LoRes-1008393

Louise vivait avec ses cinq frères et soeurs dans une pauvreté extrême. Le père était malade, la mère abandonna la famille. Louise restait à la maison, sans perspectives.
Lorsque son père décéda, elle fut accueillie chez NPH au Honduras. Sa nouvelle vie commença …

L’histoire de Louise : de la pauvreté à de nouvelles perspectives

Louise fait jaillir des étincelles!

Avec sa sœur aînée, Louise soignait à la maison son père très malade. La mère avait quitté la famille qui vivait dans une pauvreté extrême. Louise n’avait jamais été à l’école. Lorsque le père mourut, Louise et ses cinq frères et sœurs fu- rent accueillis dans notre village des enfants au Honduras.

Elle était très timide, mais tou- jours très appliquée. Lorsqu’elle dû choisir une formation professionnelle, Louise découvrit rapidement sa vraie passion dans nos ateliers : « C’est la soudure qui me plaît le plus ! C’est tellement créatif et passionnant, mais je suis toujours prudente. J’ai des cours trois fois par semaine.

Une jeune mécanicienne, NPH Honduras
« Souder est le métier le plus cool que je puisse imaginer ! »

La fascination de la soudure

« Souder est le métier le plus cool que je puisse imaginer ! »

J’apprends à mesurer stratégi- quement afin que je puisse découper les pièces et relier les structures par différentes techniques. Le plus beau moment est lorsque j’assemble les pièces et que les étincelles jaillissent. » La jeune femme de dix-sept ans rayonne en parlant de la soudure. Cela fait maintenant deux ans qu’elle apprend ce métier. « Je veux devenir meilleure encore et peut-être ouvrir un jour mon propre atelier » dit Louise avec assurance.

Gratitude envers NPH

«Je suis si reconnaissante pour l’aide que je reçois de NPH. Sans elle je ne serai pas la personne que je suis maintenant.» Louise a désormais de nombreuses possibilités. Elle va terminer sa formation professionnelle et trouvera son propre chemin. On peut voir littéralement combien la perspective d’un avenir autonome la porte.

Louise au Honduras, 17 ans

Les filles en Amérique latine ont besoin de chances

Pendant la journée, les enfants sont pris en charge et encouragés, ils sont nourris et reçoivent une aide médicale. Le soir, ils retournent auprès de leur mère.

Sortir de la pauvreté

La formation est le moyen pour se sortir de la pauvreté, pour les filles notamment. Chez NPH, nous nous engageons pour l’égalité des chances et veillons à ce que les filles aient des perspectives, grâce à une formation qui correspond à leurs aptitudes, mais aussi grâce à des cours spéciaux pour renforcer leur amour-propre et une apparence sûre.
Les jeunes femmes pourront ainsi choisir leur propre chemin dans la vie et s’affirmer dans leur vie privée et professionnelle.

Votre aide importante donne une vraie chance à de jeunes filles désavantagées. Veuillez aider maintenant !

Veuillez donner une chance à des filles défavorisées !

Avec 40 francs vous garantissez à une fillette pauvre d’aller à l’école.

Avec 75 francs vous aidez une jeune fille à apprendre un métier.

Avec 150 francs vous donnez à des fillettes défavorisées une perspective pour l’avenir.


Infiniment enrichissant : le volontariat en Amérique latine !

Des expériences émouvantes, des moments inoubliables, des impressions marquantes – c’est ce qu’offre un bénévolat chez NPH en Amérique latine ! Nous recherchons des personnes de tous âges (dès 21 ans et ayant terminé leur formation) désirant s’impliquer dans le secteur médical, social, thérapeutique ou dans l’administration et qui veulent faire provision de nouvelles expériences et aider des enfants dans le besoin.

Pour tout renseignement ou question adressez-vous à Cristina Büttikofer: téléphone: 043 497 90 30, e-mail: cristina.buettikofer@nph-switzerland

« Aujourd’hui encore, je me souviens des visages des enfants reconnaissants et joyeux. Le temps passé au village des enfants a incroyablement élargi mon horizon et ma compréhension pour d’autres cultures. »

Guido Mühlemann

Surmonter les barrières de la pauvreté par l’éducation

Michel’s Chance

Une nuit en 2004, Michel, un garçon de 13 ans, a été éclairé par des phares alors qu’il marchait sur la route de campagne qui relie les villes de Cochabamba et de Santa Cruz.

Il travaillait de nuit et vendait des sacs de nourriture aux passagers à travers les fenêtres des bus qui s’arrêtaient à un péage.

La même année, la vie de Michel a changé lorsqu’il est arrivé avec ses frères dans notre centre familial en Bolivie. Le centre de NPH se trouve à 30 minutes de sa ville natale, La Arboleda.

La période d’adaptation a été courte, mais parfois difficile. Très vite, Michel et ses frères ont bénéficié d’améliorations en matière de nutrition, d’éducation et de santé.

Michel s’est épanoui au sein de NPH. De nombreux jeunes le considéraient comme le leader de NPH Bolivie et le voyaient comme un modèle, en raison de son engagement et de ses efforts.

Michel a passé une grande partie de son temps chez NPH dans l’agriculture et chez Tío Hugo (oncle Hugo), qui était responsable de ce secteur.

Tío Hugo décrit Michel comme un bon collaborateur : « C’est un travailleur assidu qui apprend tout et ne dit jamais non quand on lui demande de l’aide ».

Michel sait comment utiliser les machines agricoles, il peut travailler longtemps au soleil et est toujours félicité pour ses bons résultats.

Michel rêve de moteurs et d’éducation

Renzo et Michel en route pour la fête de carnaval dans leurs costumes.

Mais Michel ne veut pas devenir agriculteur. Il rêve de gérer son propre garage automobile. Il aime comprendre comment fonctionnent les machines et il est passionné par les voitures.

En 2021, Michel a terminé le lycée en tant que meilleur élève, il a reçu une reconnaissance spéciale, ainsi qu’un un prix en espèces.

Aujourd’hui, Michel poursuit ses études afin de pouvoir un jour soutenir davantage sa famille, qui est la chose la plus importante dans sa vie. Après une enfance difficile, Michel a finalement l’opportunité d’ouvrir un propre commerce.

Des milliers de vies ont été touchées

L’enfance de Michel a été comme celle de milliers d’enfants boliviens qui doivent travailler pour survivre et soutenir leur famille.

Depuis la création de NPH en 1954, l’héritage du Padre Wasson a changé la vie de milliers d’enfants, dont celle de Michel.

Au fil des ans, plus de 20.000 enfants ont été élevés dans toutes les institutions de NPH.

Aujourd’hui, plus de 6.400 filles et garçons reçoivent une éducation scolaire grâce au soutien de NPH dans le monde entier.

En Bolivie, près de 100 enfants, adolescents et jeunes adultes font partie de la famille de NPH. Cela n’est possible que parce que de nombreux donateurs au grand cœur se sont unis pour changer des vies.

Si vous souhaitez soutenir l’éducation d’enfants boliviens comme Michel, cliquez ici pour faire un don et nous aider à transformer des rêves en projets efficaces.

 *Le nom a été modifié afin de protéger la vie privée des jeunes.

« L’éducation assure l’avenir ! » – Un crayon pour une vie meilleure

La pauvreté, les privations, aucune chance d’avoir une formation scolaire –
c’est la triste réalité pour d’innombrables enfants issus de milieux les plus
pauvres en Amérique latine. Et sans formation, leur avenir finit dans la même
misère dans laquelle ils sont nés. La spirale de la pauvreté ne cèsse de tourner.

Nous recueillons ces enfants dans nos villages d’enfants et établissements
comme le « Centre familial San José » à Mata de Plátano au Honduras.

« Je n’ai pas pu aller à l’école. Je n’avais même pas un crayon. Je sais encore combien j’avais honte d’être pauvre. Aujourd’hui, j’ai peur pour mes petits-enfants. Ja ne veux pas qu’ils subissent le même sort que moi … »

« J’ai grandi sans parents…»

«… quand j’avais neuf ans, j’étais assise sous un arbre et voyais d’autres enfants aller joyeusement à l’école. Mais je n’avais même pas un crayon pour y aller. J’avais tellement honte d’être si pauvre » raconte Margarita, âgée de plus de 60 ans, au Honduras. « J’ai alors commencé à aider des gens qui faisaient des tortillas afin que j’aie quelque chose à manger. Je rêvais de devenir infirmière, mais sans formation, je n’étais rien.»

Margarita et Virgilio s’occupent de deux de leurs petits-enfants qui ne peuvent pas vivre chez leur mère.

Margarita est aujourd’hui grand-maman et s’occupe avec son mari Virgilio de deux de leurs petits-enfants qu’ils adorent. Mais les moyens financiers font défaut. Margarita et son mari sont en outre très malades, Virgilio est atteint de la maladie de Parkinson et Margarita souffre de reflux chronique. L’argent manque malheureusement pour des médicaments. Margarita a fait récemment une chute et s’est blessée au bras, mais elle n’a pas les moyens de payer une radiographie. NPH aide au niveau médical et par la formation scolaire pour les enfants!

« Je souhaite pour mes deux petits-enfants qu’ils aient une formation ! Qu’ils fassent quelque chose de leur vie et aident aussi d’autres personnes. Malgré ma pauvreté et mon manque de formation, j’ai travaillé pendant onze ans comme institutrice dans une école maternelle. On peut toujours faire quelque chose.


Aujourd’hui je suis infiniment reconnaissante de recevoir de l’aide médicale de NPH et que nous allons mieux, mais avant tout que nos petits-enfants ont la possibilité d’aller à l’école et de s’instruire! »

Doña Margarita, Grand-mère du Honduras

L’école pour les plus pauvres parmi les pauvres – grâce à votre aide!

Bildung sichert Zukunft
Afin que les enfants puissent apprendre à lire, écrire, calculer, ils doivent être bien équipés.
Mais les plus pauvres parmi le pauvres n’ont même pas les moyens d’acheter un crayon..

Dans les villages d’enfants et les centres familiaux de NPH, nous gérons nos propres écoles afin que des enfants orphelins ou abandonnés, tout comme des enfants issus des milieux les plus pauvres, reçoivent une formation. Après l’école primaire et secondaire, chaque enfant apprend un métier qui correspond à ses intérêts et ses talents. Depuis la fondation de notre organisation il y a plus de 60 ans, nous avons pu donner à plus de 18 000 enfants un foyer sûr et aimant et grâce à une formation, la chance d’avoir un avenir meilleur.

Veuillez garantir à des enfants pauvres l’instruction et des soins médicaux !

Mit 35 Franken sichern Sie einem Kind Stifte, Hefte und Bücher für die Schule.

Avec 35 francs, vous garantis-sez à un enfant des crayons, cahiers et livres scolaires.

Mit 100 Franken sichern Sie Menschen in Not medizinische Hilfe und wichtige Therapien

Avec 100 francs, vous assurez à des gens dans le besoin des soins médicaux et des thérapies

Mit 150 Franken sichern Sie einem Kind Bildung und gezielte Hilfe für sechs Wochen.

Avec 150 francs, vous garantissez à un enfant l’éducation et une aide ciblée pour six semaines.